Dans la presse

Note

Ratification universelle de la convention n°182 de l'OIT sur le travail des enfants : - quelle place pour l'éthique ?

Le 4 août 2020, l’Organisation internationale du travail annonçait que « les 187 États Membres de l’Organisation internationale du Travail (OIT) ont tous ratifié la Convention (n° 182) de l’OIT sur les pires formes de travail des enfants, 1999 ». Avec la ratification du Royaume des Tonga, la Convention 182 est dès lors devenue « la convention la plus rapidement ratifiée dans...

Ratification universelle de la convention n°182 de l'OIT sur le travail des enfants :
Créé le: 19 octobre 2020 / Commentaires: 4 commentaires / Catégories: Notes Par Raphaël Maurel

 ∙ Publié le 19/10/2020

Tribune

Rémunération des membres du gouvernement : les leçons de transparence de la Finlande et de la Nouvelle-Zélande

Vanessa Barbé, professeure de droit public à l’Université Polytechnique Hauts-de-France, et membre de L'Observatoire de l'éthique publique, juge que la transparence des rémunérations des membres du pouvoir exécutif qui prévaut en Nouvelle-Zélande ou en Finlande pourrait avantageusement inspirer la France.

Rémunération des membres du gouvernement : les leçons de transparence de la Finlande et de la Nouvelle-Zélande
NBC/Contributeur

 ∙ Média de publication : Capital ∙ Publié le 19/10/2020

Tribune

"Le projet de loi ASAP peut être dangereux pour le droit des marchés publics"

En cherchant à tout prix à flexibiliser les procédures existantes, le projet de loi ASAP entretient "le stéréotype qui consiste à croire que les règles de la commande publique sont forcément trop contraignantes", selon Mathias Amilhat, maître de conférences en droit public à l’université de Toulouse et membre de L’Observatoire de l’éthique publique.

Unsplash

 ∙ Média de publication : Capital ∙ Publié le 12/10/2020

Entretien

Contrôle des frais de représentation, transparence... pourquoi le CESE a besoin d'une révolution déontologique

Alors que l’examen du projet de loi organique réformant le Conseil économique social et environnemental (Cese) a débuté mardi 8 septembre devant l’Assemblée nationale, l’Observatoire de l’éthique publique (OEP) regrette l’absence de mesures déontologiques visant à moderniser le fonctionnement de cette institution. Son directeur général, Matthieu Caron, détaille ses...

Contrôle des frais de représentation, transparence... pourquoi le CESE a besoin d'une révolution déontologique
Le président du Cese Patrick Bernasconi Blondet Eliot/ABACA

 ∙ Média de publication : Capital ∙ Publié le 09/09/2020

Article

Le maire de Sanary-sur-Mer reconnu coupable de six délits d'atteinte à la probité

Le 7 septembre 2020, le tribunal correctionnel de Marseille a reconnu notamment le maire de la ville de Sanary-sur-Mer coupable des chefs de détournement de fonds publics, prise illégale d’intérêts, favoritisme et recel de favoritisme et l’a condamné à trois ans d’emprisonnement, dont trente mois assortis du sursis, à la confiscation des biens immobiliers, ainsi qu’à cinq ans de...

Le maire de Sanary-sur-Mer reconnu coupable de six délits d'atteinte à la probité
TJ Marseille, 7 sept. 2020, n°11202000003

 ∙ Média de publication : Dalloz actualité ∙ Publié le 07/09/2020

Article

Pourquoi la prise en charge des frais de justice des collaborateurs de l'Élysée fait débat ?

L'Observatoire de l'éthique publique réclame plus d'encadrement pour la "protection fonctionnelle" des collaborateurs et ex-collaborateurs de l'Elysée, également pointée du doigt par la Cour des comptes dans son rapport annuel. Elle est selon elle passée en un an de 2.350 à 160.000 euros.

Pourquoi la prise en charge des frais de justice des collaborateurs de l'Élysée fait débat ?
Guillaume Biet, édité par Séverine Mermilliod 10h21, le 17 août 2020

 ∙ Média de publication : Europe 1 ∙ Publié le 17/08/2020

Article

Pourquoi l'Élysée a aidé Claude Guéant à payer ses frais de justice ?

Depuis une loi de 1983, l’Etat est en effet tenu d’aider à se défendre les fonctionnaires mis en cause dans leurs fonctions, même s’ils ont pris leur retraite. En 2019, il a ainsi dépensé 160 000 euros et provisionné 480 000 euros.

Pourquoi l'Élysée a aidé Claude Guéant à payer ses frais de justice ?
Claude Guéant devant l’église Saint-Sulpice, à l’occasion des funérailles de Jacques Chirac, à Paris, le 26 septembre 2019. MARTIN BUREAU / AFP

 ∙ Média de publication : Le Monde ∙ Publié le 14/08/2020